Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 23

La belle brune haletante et insatisfaite, même avec la dose de foutre chaud qu’elle vient d’avaler a besoin d’une bite dans la chatte. Elle veut sentir une bonne queue bien épaisse coulisser entre les lèvres gonflées de sa vulve en chaleur. Les cris étouffés provenant de la salle de bain familiale sont comme un chant de sirène pour la belle nymphe en rut.

Elle se relève, titubante, et se rend dans sa chambre récupérer son gros gode ventouse. En douceur, la chatte dégoulinante le long de ses cuisses, elle revient à moitié nue, jusqu’à la porte entrouverte de la salle d’eau. De sa main droite, elle récupère de la mouille huileuse dont elle couvre la concavité de la ventouse.

PLOP !

La base du gode massif est fermement encrée sur les lattes de parquet quand Élodie, à genou devant le trait de lumière, écarte les lèvres de sa vulve entre deux doigts et y plaque la tête épaisse du gland de silicone. Elle se mord la lèvre inférieure et ferme à moitié les yeux en se concentrant sur les lamentations de plaisir de Martine, émanant du bruit de fond de l’eau dégoulinante sur les corps entremêlé de ses parents, qu’elle aperçoit en transparence floue à travers le verre fumé de la cabine de douche.

Elle étouffe autant qu’elle le peut les gémissements de plaisir qu’elle ressent en s’empalant sur la grosse bite de vinyle. Les silhouettes en ombres chinoises à travers la vitre opaque la rendent dingue. Sa mère est pliée en deux, cabrée et la poitrine plaquée au mur. Serge la tient par les cheveux en embrochant sa femme à longs et puissants coups de reins.

La chatte huileuse de la jeune fille s’écarte autour du pieu flasque, Élodie l’enfonçant un peu plus en elle à chaque oscillation de son bassin tendu. Elle oublie littéralement que ce gros porc est en train de se taper sa mère. Le rapport bestial, anonymisé par les parois opaques, emporte l’adolescente dans un nouveau tourbillon de luxure. Seuls les cris de la femelle qui se fait démonter par son mâle résonnent dans l’esprit embrumé de la gamine.



Élodie a envie de se lâcher, de crier son propre plaisir, mais la peur de se faire découvrir par le couple l’empêche de s’exprimer pleinement. Elle étouffe un petit cri dans le creux de sa main lorsque le gros gland de vinyle butte contre le fond de son ventre. C’est ensuite le bruit gluant de ses chairs coulissant autour du gros pieu qui commence à inonder les oreilles de la belle brunette.

Elle s’empale maintenant librement sur le gros gode ventousé au sol, et se met à accélérer les oscillations du bassin pour répliquer la cadence avec laquelle Serge défonce le cul de sa femme.

Hunnn hunnnn hunnnn !

Élodie pousse des petits cris de lamentations afin de maîtriser au mieux la montée de plaisir qui commence à gonfler dans son ventre. La gamine, à genoux à l’entrée de la salle d’eau, s’empale avec fougue et empoigne ses grosses mamelles à pleines mains, pinçant ses tétons tendus entre pouce et index.

Lorsqu’elle roule les pointes de chair pincées entre ses doigts fins et habiles, la douleur irradie dans son corps tout entier en spirales électriques alimentant sa propre jouissance. En peu de temps, la belle brune s’empale sur toute la longueur du gros sextoy écrasant son clitoris enflé sur les fausses burnes.

Les fausses veines saillantes glissent sur les chairs tuméfiées de sa chatte encore endolorie des sévices de la veille. Les micro décharges électriques qui parcours son vagin écartelé font étrangement écho aux vagues de chaleur qui enflent dans son ventre, et la collision des deux impressions qui s’entrechoquent déclenche des spasmes de plaisir intense.

Ses petits cris aigus et étouffés sont synchronisés aux gémissements de Martine qui va bientôt jouir sous les coups de butoirs de son gros vicelard de mari. Élodie délaisse son sein droit et glisse sa main entre ses jambes afin de stimuler son clitoris aux abois. Elle s ‘empale de plus en plus fort et de plus en plus vite, ses doigts agiles tournoyant avec force et précision sur le bouton hyper sensible de son clito.


Les vagues de chaleurs dans son ventre bouillonnant gonflent et s’amplifient en elle. Elle peut presque sentir la mouille de la femelle en rut se déverser sur elle. Elle a presque le goût métallique de la queue détrempée sur la langue. Elle sent presque la cyprine glisser entre ses gros seins alors qu’elle joue, pince, tord et étire ses tétons durs comme la pierre entre ses doigts fins.

Décontenancée par les vagues de plaisir qui secouent son corps des spasmes précurseurs de l’orgasme, Élodie se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier son plaisir. Cette tension est intenable, la grosse pute sous la douche peut hurler de plaisir tant qu’elle le veut, mais elle, la jeune pouliche en chaleur empalée sur ce toy extrême, elle doit contenir les vagues de jouissance qui parcours tout son ventre pour exploser au plus profond de sa vulve dilatée.

-Tiens prend ça, salope ! CLAC CLAC CLAC
-Oui putain, prend moi bien profond mon chéri ! HAN HAN HAN !

Élodie n’en peut plus, elle veut sentir la grosse bite de ce vicelard en elle. Elle veut aussi sentir son gros gland gonfler entre ses muqueuses. Elle veut sentir les veines la fourrager et cette grosse queue qui doit maintenant frémir, prête à exploser son jus chaud et visqueux au fond de son ventre en chaleur.

-Oui, vas-y mon chéri ! Jouit au fond de moi ! Inonde moi bien ! HAN HAN !
-HAN Tiens prend ça ma salope !

BZZ BZZ …. BZZ BZZ ….

Au moment où la gamine est sur le point de jouir comme une petite chienne, ses gémissements couverts par les râles des deux amants et de l’eau ruisselante sur leurs corps entremêlés, Élodie voit toute la tension sexuelle qui gonflait en elle, soudainement disparaître, le corps soudain baigné de sueurs froides à l’idée d’attirer l’attention du couple par les vibrations du smartphone à ses pieds.

L’esprit soudain éveillé à la peur de se faire découvrir, la brunette se redresse, le regard coupable et inquiet tourné vers son beau-père qui s’empale au plus profond de sa femelle pour l’emplir de sa semence.
Elle a tout juste le temps de ramasser le smartphone et d’ les vibrations dans le creux de sa main trempée de cyprine huileuse.

Coupable, inquiète, stressée, la jeune fille ne sent même pas sa propre mouille dégouliner entre ses cuisses cuivrées. Le gros gode oscille lamentablement à ses pieds, lui aussi luisant de cyprine qui s’écoule en une petite flaque à la base des couilles surplombant la grosse ventouse.

Les mains tremblantes, et le regard encore dans le vague, Élodie parvient à peine à déchiffrer le message. Son voisin l’attend devant l’immeuble dans dix minutes pour la conduire à son stage. « Oh putain ! Mon stage ? » Elle pue encore le sexe, le sperme et la luxure, et ses parents squattent toujours la douche familiale !

PLOP ! Élodie arrache le gode du sol et essuie vite fait le sol de sa nuisette, puis elle se précipite dans sa chambre, traversant la salle à manger les seins à l’air. Elle balance son gode sur son lit et tout en s’essuyant de son mieux avec la nuisette transparente, elle réfléchit à ses options : faire de son mieux pour couvrir les odeurs avant de s’habiller, aller gueuler pour déloger ses parents de la salle d’eau et soudain, une idée lui vient en tête.

Son voisin, Mr. Grosbout, a toujours eu un petit faible pour son petit minois. Et si elle allait squatter sa douche vite fait ?

Élodie fouille dans les dernières tenues qui lui restent mais à part les derniers ensembles « fournis » par son maître chanteur, il ne lui reste plus rien de potable pour son premier jour. Elle choisit alors un ensemble modérément provoquant dans ses tenues et en extrait une mini jupe crayon, un petit haut serré et souple à l’échancrure en V plongeante accompagné de son ras le cou. Puis elle compète le tout d’une paire de sandales ouvertes.

La jeune fille s’enveloppe dans la petite serviette qu’elle avait la veille lorsqu’elle s’est faite baiser par Franck et se rend à pas de loups dans l’entrée de l’appartement, tout en s’assurant que ses parents ne la calculent pas ; avant de sonner chez le voisin.
Lorsqu’elle entend le sexagénaire s’agiter dans son appart, elle met ses atours en avant, et se pare de son plus joli sourire.

-Élodie ?
-Oui, bonjour Mr. Grosbout ! Dites, j’ai un petit problème, mes parents occupent notre salle de bain et je dois me préparer pour un entretien d’embauche ! Est-ce que ça vous dérange si je me prépare chez vous ?
-Euh, ben y a pas de problèmes, je pense ….

Le gros voisin moustachu au crâne dégarni se frotte le crâne d’un sourire un peu gêné ;

-Tu me prends juste un peu de court, tu es vraiment si pressée que tu ne peux pas attendre que tes parents finissent leur affaire ?

« Finissent leur affaire ? » La petite brunette, qui lui arrive tout juste aux épaules, se demande comment il peut savoir ce qui se trame chez elle. Lorsqu’il s’écarte pour la laisser entrée, la jeune fille, juste enveloppée de sa mini serviette de bain, se sent soudain très vulnérable. L’appartement du sexagénaire n’est pas du tout agencé comme celui de ses vieux.

Le couloir d’entrée donne directement dans le salon qui occupe une place centrale, entouré d’une cuisine américaine, d’un renfoncement dans lequel elle devine un lit défait, séparé d’un simple pare-vue. Quant à la salle de bain, elle se résume à un toilette et un bac de douche qu’elle aperçoit par réflexion dans le miroir surplombant le lavabo.

Élodie ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil rapide à l’écran du laptop ouvert sur la table basse en face de l’entrée. Une vidéo plein écran est en pause sur une jeune fille en prise avec trois lascars, un dans chaque trou, cassée en deux sur un canapé la bouche pleine de foutre dégoulinant sur son menton.

Elle comprend mieux le désarroi du sexagénaire et s’apprête à lui en faire la remarque, un regard faussement outré et la main droite à plat sur sa poitrine :

-Eh ben Mr. Grosbout …. Mais le gros chauve ne lui laisse pas terminer sa phrase !
-HAHAHAHA Tu ne vas pas faire ta précieuse non plus, si ? Tu crois que je ne vous entends pas toi et tes potes lorsque vous faites vos « poker gage » ?

Élodie rougit alors comme une pivoine :

-Mais comment ????
-C’est simple, répond t’il en se dirigeant vers le renfoncement qui lui sert de chambre ; cette paroi donne directement sur ta chambre et elle est TRES fine, en insistant bien sur le « très ».
-Je … Je ne …. La jeune fille bafouille mais n’arrive pas à articuler sa pensée.
-HAHAHA mais t’inquiète pas ma belle, je me régale trop de vos ébats pour m’en plaindre !

Il traverse alors la pièce et lui désigne la salle d’eau d’un mouvement de main l’invitant à le précéder :

-Si mademoiselle veut bien se donner la peine ? Par contre, la porte coulissante est mal posée et ne ferme pas !
-Je …. « De toute façon, c’est pas comme si j’avais le choix ! » … Oui ne vous inquiétez pas, je suis pas farouche …. Elle glisse son doigt sur l’épaule velue du gros chauve ; Mais ça vous la savez déjà ! Conclue t’elle d’un clin d’œil coquin.

Élodie se dirige alors dans la minuscule salle d’eau tout en observant le moustachu du coin de l’œil. Elle l’aperçoit, à la limite de son champs de vision, il prend place sur un gros fauteuil en cuir faisant face à la porte ouverte. C’est un tantinet rassurée qu’il ne la suive pas pour la sauter qu’elle pause ses affaires propres sur la tablette surplombant les toilettes, avant de détacher la serviette face au bac à douche.

Se tournant de trois quart pour ouvrir l’eau, instinctivement, elle tend sa main libre vers l’extérieur du bac pour attr un rideau de douche inexistant. Elle réalise qu’elle va se doucher sans aucune protection visuelle de son voisin. C’est donc machinalement, les yeux fermés, qu’elle tend la tête sur le côté pour commencer à mouiller son corps un peu meurtri des sévices qu’elle subit depuis 24 heures.

Lorsqu’elle ouvre les yeux, à la recherche d’un tube de gel douche, elle aperçoit le reflet du corps trapu de son hôte. A cause de l’angle de vue, elle ne peut voir sa tête, mais elle remarque très bien sa grosse paluche d’ouvrier secouer la queue courte et trapue encore à moitié molle ; « Le salop putain ! Il se branle en me matant ! »

La fausse pudeur dont la belle fait preuve, est vite remplacée par un sentiment de désir pour cette belle bite. Depuis son réveil, on lui refuse un plaisir sourd et sournois qui ne disparaîtra que si elle peut s’empaler sur une bonne grosse queue, et la vue de ce morceau de chair grandissant entre les doigts du moustachu rallume l’incendie de plaisir encore frais dans son esprit déluré.

Sa chatte la démange, elle sent la chaleur gonfler à nouveau dans son ventre et meurt d’envie de se caresser malgré la présence du vieux pervers. L’excitation de se faire mater par le voisin déclenche de nouvelle vague de chaleur qui se propagent de son ventre tendu vers les profondeurs de son intimité déjà trempée.

Qu’il la mate l’excite certes, mais or de question de lui rendre la tâche facile, la petite vicieuse glisse une main sur son ventre plat et tourne le dos de trois quart à son hôte tout en empoignant un sein de sa main libre. Elle glisse ses doigts jusqu’à son téton dur et très sensible, et se mord la lèvre lorsqu’en un seul et même mouvement, elle pince et roule son téton entre pouce et index, tout en s’enfonçant deux doigts dans la chatte.

Malheureusement, la belle n’a pas le temps de se faire plaisir, et elle se contente d’allécher le moustachu quelques instants avant d’interrompre ses caresses comme si de rien n’était. « Innocemment », la belle se contente de se laver malgré les cris de désespoir de son corps aux abois d’une bonne jouissance explosive.

Tentatrice jusqu’au bout, Élodie tourne toujours à moitié le dos à son hôte, elle ne souhaite pas lui dévoiler toute sa nudité, et décide de laisser une légère part de mystère en ne lui dévoilant qu’une infime partie de sa féminité, ses fesses musclées, son dos joliment cambré, le profil subtil d’un sein qui pend sous sa poitrine, alors qu’elle essuie son corps jeune et imberbe.
Elle passe sa mini-jupe et l’attache sur le haut de sa hanche, la fente remontant haut sur son entrejambe. C’est ensuite au tour de son petit haut à manches légères et amples qu’elle attache en croise-cœur d’une simple boucle entre les seins, accentuant leur galbe dans le V plongeant de son décolleté. La gamine termine sa toilette d’un léger maquillage des cils avant d’attacher ses cheveux en une queue de cheval tendue haut sur le crâne. Avant de sortir, sandales à la main, elle enserre sa nuque de son ras le cou de soie noire et positionne ses lunettes tendances sur son nez retroussé.

Se déhanchant langoureusement devant Mr. Grosbout qui continue de se branler ouvertement devant la gamine, elle l’interpelle :

-Eh ben Mr. Grosbout ! Faut pas vous gêner ! Remarque la jeune fille en plaquant une main sur sa poitrine à peine cachée dans le V plongeant de son haut.
-HAHAHAHA, le gros moustachu ne prend même pas la peine de ranger son attirail ; Tu vas pas faire ta pudique tout de même ?
-Ça me gêne pas vraiment, surtout qu’vous êtes plutôt bien monté …. Le vieux ne manque pas la pause, et de conclure :
-Pour un vieux ?

Élodie rosit des joues, apparemment touchée d’avoir jugé son voisin :

-Non mais c’est pas ça !
-HAHAHAHA, mais non t’inquiètes, je suis lucide !

Légèrement détendue, mais toujours à la bourre, Élodie se tourne de trois quart et d’un regard coquin, elle reprend :

-Ma jupe est beaucoup trop tendue pour que je puisse boucler mes sandales, est ce que vous voulez bien m’aider ?

Le voisin abandonne temporairement sa grosse queue mais ne la rentre pas dans son froc. Il se lève en prenant appui sur les gros accoudoirs de cuir et d’un râle, se redresse le sexe pendouillant entre ses cuisses :

-Montre moi ça ?
-Attendez, OUPS !

La gamine, en appui sur son pied droit, essaye de lever la jambe gauche et tend une première sandale à son hôte. Mr. Grosbout s’accroupit aux pieds de la jeune brunette et att sa cheville fine dans sa main gauche.

Alors qu’Élodie a bien du mal à détourner son regard du morceau de bidoche épais oscillant entre les cuisses musclées du moustachu, le voisin ne peut s’empêcher de mater l’abricot imberbe de la belle. Le vagin ouvert et toujours luisant des plaisirs matinaux de l’adolescente et une véritable friandise pour le regard vicieux du vieux pervers.

Le vieux voisin passe à l’autre pied et inverse ses appuis pour déposer le joli pied gauche sur sa cuisse tendue. Perturbé par la nudité si proche de la gamine, il ne peut détourner son regard de la vulve gourmande, et ne peut retenir sa grosse paluche de glisser sur le tibia dénudé une fois la boucle fermée.

Il sent la chair de poule pointée sur la peau douce de l’adolescente alors que sa paluche charnue remonte derrière le genou fléchi. Jusqu’où est-elle prête à le laisser remonter ? Il observe le visage juvénile au-dessus de lui et remarque que la belle brune à déjà les yeux mi-clos et se mordille la lèvre inférieure sous les plaisirs de cette caresse.

« Putain de petite salope ! Soit c’est une vraie nympho, soit elle est en manque ! » Les pensées lubriques du vieux voisins, et l’apparente excitation de la gamine, dont les tétons pointent sans vergogne sous le fin tissu du croise cœur, brisent les dernières barrières de d’inhibition que Mr. Grosbout pouvait avoir pour sa jeune voisine.

Il glisse sa main gauche sous la cuisse lisse et musclée de la belle, maintenant le plat de sa main droite sur le pied encore ancré sur sa cuisse. Ses doigts boudinés parviennent au plis fessier de la belle, et il peut sentir la douceur de cette peau juvénile sous le contact de ses doigts. La salive abonde dans sa bouche alors que son cœur cogne à tout rompre dans ses tempes.

Mr. Grosbout plaque alors sa main gauche sous les fesses potelées de la gamine et glisse son majeur dans la raie du cul ouvert devant lui. Il atteint rapidement la petite pastille striée et fraîchement nettoyée pour s’approcher du Graal ; la fente gluante et imberbe de sa belle salope de voisine.

Son cœur est sur le point de défaillir lorsqu’il aperçoit la jeune fille se cambrer, en poussant un doux soupir de plaisir, au-dessus de lui, alors qu’il enfonce son gros majeur entre les muqueuses chaudes et douces de cette petite pute.

« Oh putain, vas-y mon salop ! Enfonce moi bien ! » Élodie n’en revient pas, alors qu’elle était juste venu chercher l’aide de son voisin dans sa galère matinale, la voilà plantée au-dessus de lui, la vulve exposée et en si peu de temps, un gros doigt est déjà en train de lui procurer un plaisir exquis. « Il sait s’y prendre le salop ! » Rien à voir avec la brutalité de ces derniers jours.

Le voisin plante déjà un deuxième doigt dans la vulve ouverte et dégoulinante de jus, la belle se cambre et att ses seins à pleine main tout en gémissant d’un plaisir sans complexes. Elle à dénoué la cordelette de son cache cœur et coince ses tétons enflés entre majeurs et annulaires les pinçant légèrement tout en malaxant ses obus de chair.

Les soupirs de plaisir sont une invitation qu’accepte volontiers le vieux pervers qui s’avance, le braquemart tendu entre les cuisses, et s’imprègne des effluves métalliques de la jeune chatte en chaleur. Il plaque alors ses lèvres charnues contre le bouton du clitoris enflé, ses grosses moustaches chatouillant le pubis imberbe de la jeune fille.

Une explosion de chaleur comme elle n’a jamais connu se répand dans les entrailles de la gamine qui pousse un long râle de plaisir lorsque son hôte lui aspire le clitoris en lui massant savamment l’intérieur du vagin, insistant sur la zone du point G en des caresses puissantes et circulaires. Rien à voir avec les pitonnages sans vergognes des jeunes de la cité ou de tous ses amants des derniers jours.

Alors qu’il aspire, lèche et masse le bouton gorgé de sang de sa belle voisine, tout en lui massant les zones érogènes et ultra sensibles de ses muqueuses inondées de cyprine, Mr. Grosbout en profite pour glisser sa deuxième main sous les fesses lisses et charnues de la petite salope. Il en écarte les chairs entre index et annulaire et glisse sans peine son majeur dans les entrailles anales de la belle qui râle d’un plaisir non contenu sous la triple caresse de son vieux vicieux.

-Oh oui putain, c’est bon ! Continue vieux salop !
SLURP, FOUIC FOUIC FOUIC

Les bruits de mouille et de chairs humides coulissant les unes sur les autres emplissent la pièce unique de l’appartement maintenant inondé des effluves sexuelles de la gamine en chaleur.

Sous les encouragements de la jeune fille, le vieux moustachu déploie tout son savoir pour lui procurer un plaisir comme elle n’en a jamais connu. Et la gamine n’est pas avare de ses sens, elle se cambre, malaxe, triture et tripote ses tétons gonflés de plaisir. Elle est sur le point de connaître un nouveau type d’extase sexuelle.

Son ventre se tend, la chaleur s’y répand en profondeur prête à exploser en un feu d’artifice sensoriel. La vue de la gamine se trouble, ses sens se perdent dans la douce torpeur de cette triple caresse intense, ses jus dégoulinent dans la bouche qui baise si bien sa vulve en chaleur.

Elle est littéralement sur le point de jouir comme une folle, la chaleur dans son ventre est à deux doigts d’exploser d’extase dans tout son corps. Elle abandonne son sein droit pour plaquer la tête de son vieux voisin contre son pubis, comme si elle pouvait enfourner la tête de son amant au plus profond de ses entrailles en chaleur.

-Oh ! Oh oui putain ! Fais moi jouir ! Vas’yyyyyyyyy !
BZZZZZ BZZZZZ BZZZZZ
-HUMPH HUMPH HUMPH

Les vibrations du smartphone sur la table en verre brise instantanément la montée en puissance d’une jouissance qui allait enfin la satisfaire. La tête dans le gaz, sonnée et groguie par les caresses buccales et le doigté expert du sexagénaire, Élodie tente de reprendre pied dans la réalité.

Encore sous l’ivresse de la vague de plaisir dont elle vient d’être inondée, elle dandine sur ses jambes cotonneuses et, titubante sous le plaisir dont on la prive une nouvelle fois, elle parvient à prendre appui sur la cloison de la salle d’eau pour ne pas tomber.

Les seins à l’air, elle réalise que Mr. Chevaleraud, son maître de stage, vient de lui envoyer un message pour la prévenir qu’il l’attend au pied de l’immeuble pour la conduire à son entretien. Elle parvient difficilement à se ressaisir, repose son téléphone sur la table basse pour se rhabiller au plus vite.

Elle attache le lacet de son cache cœur d’une double boucle entre ses seins, et retend sa jupe le long de ses cuisses. L’ingénue déchire un carré d’essuie-tout pour absorber la mouille qui dégouline entre ses cuisses et s’excuse auprès de Mr. Grosbout d’avoir à l’abandonner ainsi.

Élodie ne peut résister à la tentation du morceau de chair à moitié bandé entre les cuisses du sexagénaire, et s’accroupit devant lui en soupesant sa queue dans la paume de sa main. Elle dépose un baiser sur son gland recouvert du prépuce épais et l’aspire lentement en soutenant le regard de son voisin de son œil coquin, avant de conclure :

-Merci pour votre aide Mr. Grosbout ! Voici un avant goût de ma gratitude !

Elle l’aspire intégralement, son nez farfouillant les poils pubiens de son hôte, et se retire toute fière d’avoir redonner de la vigueur au vieux bonhomme. Il lui sourit dans toute sa bonhommie, et se gratte l’arrière du crâne :

-A charge de revanche ma douce !
-Promis ! Lui répond t’elle après avoir attr sa pochette, avant de quitter l’appartement, le saluant d’un clin d’œil malin.

La jeune espiègle se sent toute légère et dévale les escaliers la tête pleine d’espoir pour l’avenir. Elle n’avait aucune idée des talents de son vieux voisin, et malgré l’interruption intempestive de son extase, elle compte bien renouveler l’expérience au plus vite.


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd


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